Chronique : Kuroneko - La dépendance (OS)

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Type : Yaoi
Auteurs : Aya SAKYO

Editeur : Taifu Comics
Prix de vente : 8.99€
Nombre de tomes France : one-shot
Nombre de tomes Japon :  one-shot
Date de parution : 26 février 2015

 

Pitch :

« Combien de fois dois-je le répéter pour que tu me croies ? Combien de fois dois-je te lécher pour que tu comprennes ? »

Kagami et Shingo sont maintenant ensemble et si amoureux qu’un seul « je t’aime » de la part de Shingo fait apparaître des taches de léopard sur la peau de Kagami. Malheureusement, quelqu’un les photographie pendant qu’ils s’embrassent…

Chronique :

Voilà le deuxième OS de la série des Kuroneko ! Alors que le premier était destiné à être un OS, son succès fut tel qu’une « suite », sous forme d’OS, vu le jour : Kuroneko : la dépendance. Pour ceux qui auraient raté le coche, Kuroneko met en scène des humains qui peuvent se transformer en félins. Shingo et Kagami, les deux protagonistes, peuvent respectivement se transformer en chat et en léopard. Mais attention, il ne s’agit pas ici d’un remix de « Love Pistols » !

Dans ce tome, Shingo et Kagami sont passés d’amants à amoureux et sont tout ce qu’il y a de plus heureux, à un détail : alors que Shingo semblait enfin avoir trouvé un chez-lui, qui s’avère être chez Kagami, son manque de confiance va revenir le taquiner et mettre des bâtons dans ses pattes. Et puisque les choses n’étaient pas assez compliquées comme ça, un photographe les surprend en train de s’embrasser et s’amuse à semer le trouble dans leur relation.

Je n’ai comptabilisé que 9 scènes dans ce tome contre 11 pour « Kuroneko : Le jeu ». Cependant, les scènes de ce tome sont plus longues et encore plus explicites. Il y a donc toujours autant de sexe et les personnages ne se gênent pas pour crier qu’ils ont fait l’amour toute la nuit. Du coup, j’ai plus l’impression qu’on nous offre ici du sexe gratuit alors que dans « Kuroneko : le jeu », les scènes étaient plus amenées de manière à ce qu’on les intègre plus facilement à l’histoire.

C’est en lisant ce tome qu’on se rend compte que Kuroneko était vraiment programmé pour être un OS, car l’auteure fait ressurgir les insécurités de Shingo alors que le premier tome montrait clairement que Shingo avait confiance en Kagami et se sentait en sécurité avec lui. Ce choix scénaristique crée alors une intrigue pas aussi intéressante que la précédente. Alors, oui j’ai aimé « Kuroneko : la dépendance », mais pas autant que le premier.

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