Chronique : Skip Beat ! Vol.18

Type : Shojo
Auteurs : Yoshiki NAKAMURA

Editeur : Sakka/Casterman
Prix de vente : 5,95€
Nombre de tomes France : 18 (en cours)
Nombre de tomes Japon :  28 (en cours)
Date de parution : 19 octobre 2011

Pitch :

 Ou Hizuri, l’acteur qui a joué le rôle de Katsuki dans la première version de Dark Moon avant d’aller faire carrière à Hollywood, est de retour au Japon pour assurer la promotion de son dernier film. Catapultée assistante de la star par l’exubérant président de LME, Kyôko n’a donc guère le temps de réfléchir à tête reposée à son propre avenir. Il est pourtant urgent qu’elle se penche sur la question si elle ne veut pas perdre de vue son objectif ultime : se venger de Shô ! Ce dernier connaît en effet une ascension encore plus fulgurante depuis quelque temps. Les événements de Karuizawa l’auraient-ils transformé ? Mais laissons là l’ennemi juré, car pour l’heure, Kyôko est au trente-sixième dessous… Jusqu’à ce que Kou, troublé par son désarroi, lui propose une méthode radicale pour élargir la palette des rôles qu’elle peut interpréter…

Chronique :

Nous voici donc dans ce tout nouveau volume de Skip Beat qui marque le véritable départ du nouvel arc. Pourquoi dire que ce volume-là de Skip beat est un peu plus singulier que les autres ? En effet ici, Ren est mis de côté. A la place, Yoshiki Nakamura nous fait découvrir le nouveau personnage, Kou, (qui n’aura pas laissé bonne impression à tout le monde) arrivé dans le volume précédent, et la relation qu’il va entretenir avec Kyoko. Dans ce volume également, Kyoko fait un pas de plus dans la quête de soi-même, mais sans pour autant nous faire avancer dans l’histoire (pour dire on stagne même dans cette partie). Comme dit plus tôt, Ren n’apparait que très peu dans ce volume, et nous laisse donc en haleine face aux semi révélation du volume précédent le concernant. Saluons tout de même la présence du président Takarada, toujours prêt à crisser nous deux héros . Comme d’habitude, il y a du comique, mais la mangaka nous aura offert mieux.

Nous retiendrons donc de ce volume ce tout nouveau personnage, ainsi que l’insertion plus profonde dans la psychologie de Kyoko.

Le dessin est toujours aussi beau, l’intensité des regards est vraiment l’un des points fort des dessins de Yoshiki Nakamura. Le fait que le dessin du nouveau personnage soit maîtrisé aussi rapidement est vraiment un plus pour l’harmonie des dessins. En bref, un magnifique dessin de shojo et qui devient de plus en plus beau au fil des volumes.

Coté édition, rien d’exceptionnel, mais mention pour leurs très bon résumés.

On peut donc dire que c’est un volume qui n’est pas forcément important pour l’avancée de la série, mais important dans le sens où on fait un véritable bond en avant dans la psychologie de Kyoko.