Chronique : Kurogane No Linebarrels Vol.2

http://www.manga-sanctuary.com/couvertures/big/kurogane-no-linebarrels-manga-volume-2-fran-aise-26510.jpgType : Shonen
Auteurs : Eiichi SHIMIZU (scénario)/ Tomohiro SHIMOGUCHI (dessin)

Editeur : Glénat
Prix de vente : 7.50€
Nombre de tomes France : 7 (en cours)
Nombre de tomes Japon :  18 (en cours)
Date de parution : 3 mars 2010

 

Pitch :

 

 Fou de rage après la mort de son meilleur ami, Koichi Hayase libère la puissance insoupçonnée de Linebarrel !! Cette macchina, surveillée de près par la mystérieuse Juda Corporation, suscite également la convoitise de sa rivale, la société secrète Kato. Cette dernière décide alors d’envoyer au combat ses robots de série “arma” contre les jeunes factors de Juda. Place à l’action !!


Chronique :

 

Après un premier tome plutôt intéressant, offrant un peu de renouveau dans le genre mécha. Nous attaquons la lecture de ce second tome.

 

Les auteurs parviennent ici à mélanger habillement les ingrédients pour faire un bon volume comme on les aime. Reprenons, rapidement point par point ses éléments.

 

Les scènes de combats, que nous avions eu la chance de découvrir dans le premier volume sont toujours très présentes. Sur le plan des révélations, beaucoup de zones d’ombres sont éclaircies. On peut alors en savoir plus sur les sociétés Juda et Kano, mais aussi sur le « choix » des factors. Les séquences émotions sont aussi de la partie, certaines ayant plus d’impact que d’autres. Des séquences bien amenées, mais qui restent tout de même un peu clichés si l’on regarde de plus prêt.

 

C’est d’ailleurs ce genre de scène qui justifie finalement le classement de la série en tant que shonen et non seinen. Car, oui le manga fait toujours preuve d’une certaine violence, mais qui suit tout de même pas mal de codes shonen. On regrettera en revanche, le fait que la psychologie des personnages soit un peu mise de côté et prend une tournure un peu plus « simple ».

 

On termine avec  la touche humoristique des gags parfois déjà vu, mais qui sont placés au bon moment et font généralement mouche.

 

Au final, ce second tome est de bonne qualité, mais justifie surtout la catégorisation du manga en tant que shonen.

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