Les lectures mangas de la semaine S11E06
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Cette semaine, pas mal de lancements au menu, notamment #Sarissa chez #Panini, #ManyReasonsWhy chez #Omaké ou #UnsungCinderella chez #Meian. On testera aussi la nouvelle collection Shojo+ de #Glénat, avec #UneToucheDeBleu. On aura aussi les suites de #TokyoTararebaGirls chez #LézardNoir, ainsi que #Rasetsu chez #H2T et on terminera avec la suite et fin de #JustNotMarried chez #Kana.
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"Sarissa" Vol.1, Mika MATSUDA & KOME, chez Panini.
Voilà qui devrait ouvrir la semaine avec panache ! Le premier tome de Sarissa of Noctilucent Cloud, de Mika MATSUDA & KOME, deux autrices dont le manga est toujours en cours de parution avec cinq volumes à son actif au Japon. C'est Panini qui nous propose de découvrir l'une des premières "vraies" nouveautés de son catalogue depuis la reprise et j'étais donc bien curieux de voir ce qui allait m'être proposé. Shinobi n'est pas une jeune fille comme les autres, elle est ce que l'on appel une fireball, un enfant doté de pouvoirs. En effet, Shinobi est capable de devenir indétectable..transparente, ce qui dans sa vie de tous les jours, n'est pas forcément une bonne chose. Son destin va pourtant changer lorsqu'elle va faire connaissance avec Danke, pilote d'avion et qui passe son temps à défendre la population face aux créatures que l'on appel Arpenteurs ! Un tournant pour la jeune fille, qui vient peut-être de trouver un moyen de ne plus être si transparente que ça ! Le pitch sonne plutôt bien, mais c'est surtout le démarrage du titre qui met un sacré coup de pression ! En effet, les autrices ne perdent pas une seconde et envoi du bois dès les premières pages, ce qui évidemment met directement le lecteur dans de bonnes conditions. On alterne entre scènes d'action et tranche de vie sur un rythme assez soutenue, c'est bien dosé et l'on arrive très rapidement à bout de cette première salve de chapitres. Qu'en ressort-il ?! Ma foi, une histoire bien pensé, bien articulé, qui dévoile juste ce qu'il faut pour appâter le lecteur et le garder dans ses filets. C'est plutôt original, on mélange SF, fantastique, action, tranche de vie et une pointe de réalisme dans une seule histoire et moi j'ai trouvé que ça tenait plutôt bien la route pour le moment. On apprend à connaitre les personnages Shinobi en tête, puis Danke et d'autres, sur ce point-là on y va crescendo, juste ce qu'il faut, quand il faut et je dois dire que j'étais pris dedans du début à la fin. J'aime bien l'idée de l'héroïne dont le "point faible" va devenir sa force et lui permettre de s'émanciper et grandir. Le choix des pouvoirs que l'on découvre est assez malin lui aussi, d'autant que l'utilisation faite est bonne, tout en gardant une certaine fragilité. On en vient alors aux graphismes, j'ai d'abord trouvé le chara-design un peu faible, mais je dois dire que cela apporte un certain contraste avec les avions et créatures, si bien que du coup, ça ne m'a pas choqué. Bon, le niveau de soin et détails apportés aux avions est tout simplement fabuleux, c'est le top du top et je trouve la mise en page et le découpage vraiment très costauds. On aboutit sur des scènes d'actions de qualités et très clairement, c'est un vrai plus lors de la lecture. Par ailleurs, on retrouve en fin de tomes d'incroyables notes sur les dessins, les avions etc...on ne peut pas dire qu'elles ne savent pas de quoi elles parlent !
Scénario : 4/5
Graphisme : 4/5
Ma note : 8/10
🌟
Voilà une introduction réussie ! On te parle d'efficacité, ici les autrices ne rigolent pas et lâchent d'entrée les chevaux. Une histoire intrigante, avec des scènes d'action décapantes et des graphismes aux petits oignons !
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"Many reasons why" Vol.1, de Toutarou MINAMI, chez Omaké.
Seconde découverte, il s'agira d'une nouveauté qui débarque cette semaine chez Omaké, Many reasons why ! L'occasion de retrouver Toutarou MINAMI l'autrice de Birdcage Castle (chez DokiDoki) et qui revient dans un style assez différent. Le titre compte sept volumes en cours de parution au Japon et nous propose de suivre l'histoire d'un classe de lycée qui va devoir faire face au brusque suicide d'une des filles de la classe. Alors que tous sont sous le choque, ils vont découvrir en revenant de l'enterrement chacun sur leurs pupitres une lettre d'adieux personnalisées. L'occasion peut-être de découvrir la raison de son suicide...où plutôt les raisons ! BAM ! Directement t'as compris le délire du jeu de mot autour du titre dont le pitch ne t'auras d'ailleurs probablement pas manqué de rappeler la série à succès de Netflix, 13, reasons why. Un manga dont le premier tome prend vraiment son temps et se dévoile lentement, mais surement, laissant une place assez importante au suspens tout du long et avec quelques retournements de situations bien dispatchés. On s'aperçoit vite au fur et à mesure que l'ambiance dépeinte en début de tome, n'est que de la poudre de perlimpinpin pour nos yeux et que l'on découvrira petit à petit le vrai visage de chacun. Typiquement le genre de récit qui met en avant les vices, les non-dits, mais aussi qui joue énormément avec les interprétations de chacun. L'occasion aussi de revenir une fois encore sur le monde scolaire et tout ce qu'il peut avoir de négatif. Pour le moment, je trouve que c'est bien amené, l'autrice parvient à donner envie d'en savoir plus, maîtrisant parfaitement le suspens et la tension dans un quasi huit-clos scolaire. Graphiquement, l'autrice propose une belle diversité sur le chara-design, chaque personnage ayant son identité visuel, du reste, le travail sur la mise en page est correct, même si ce n'est pas forcément sur ce type de récit que l'on peut le mieux s'illustrer.
Scénario : 3.5/5
Graphisme : 3/5
Ma note : 6.5/10
Grosse introduction, pour cette histoire qui semble nous plonger dans un 13 Reasons Why "look like", le monde scolaire est parfois cruel et ce titre vient aussi pour le dépeindre sans chichi !
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"Une touche de bleu" Vol.1, de Nozomi SUZUKI, chez Glénat.
2021, le moment qu'a choisi Glénat pour lancer une nouvelle collection intitulée Shojo+ et dont le but est de promouvoir le genre via des titres "différents". Une initiative toujours louable, sachant que le genre à dû mal, mais que plusieurs autres éditeurs (Akata en tête) font le maximum pour proposer justement des titres qui sortent du lot et proposent autre chose que de simples histoires à l'eau de rose. Une collection qui fait déjà débat en raison du choix des titres notamment celui-ci qui est plutôt catégorisé comme un "seinen" et non "shojo". Bon, je vais pas vous mentir, à titre perso, je ne fais jamais attention au genre quand j'achète un titre...en fait, moi mes critères de sélection (et on en avait un peu parler sur les réseaux) sont principalement le pitch et le coup de crayon. Qu'est-ce que je m'en balec, mais vraiment de savoir qu'il s'agisse d'un shojo, d'un seinen, d'un yuri, d'un manfra (et d'ailleurs vous me cassez les couilles avec ce terme aussi) ou yaoi ou shonen ou shonen nekketsu...qu'est-ce que cela change vraiment lors de la lecture ?! Soit ça t'intéresse et tu kiffe, soit non, basta ! Alors oui, peut-être que l'éditeur aurait pu un peu mieux réfléchir sa comm' ou le choix des titres, mais franchement, quand je vois les gens qui leurs tombent dessus comme si on venait de violer leurs chats...faut redescendre cinq minutes les gens. Faut arrêter de partir au quart de tour pour des trucs, mais vraiment d'importance minime, à croire que sayé, ça allait empêcher de dormir la nuit. Au passage, c'était déjà valable, mais sachez que vous pouvez faire passer vos points de vue, sans être insultant envers l'éditeur, essayez, je vous jure, je suis sûr que vous aurez un meilleur résultat, plutôt qu'en beuglant bêtement. Voilà, ça c'est dit, c'était la petite parenthèse. Du coup, Une touche de bleu, titre en cours de parution au Japon avec trois petits tomes et dont nous découvrons pour la première fois l'auteur en France. Le titre propose de découvrir la vie de Ruriko, une lycéenne qui possède une tâche de naissance bleutée sur le visage. Comme vous vous en doutez, cette dernière essaie de passer outre et de s'accepter, mais parfois le regards des autres l'emporte et cette année, c'est celui de son professeur qui va la marquer (LOL). Vous l'avez compris, un récit qui va être très axé sur l'acceptation de soi, complexe physique (ou non via la prosopagnosie par exemple), le regard des autres, harcèlement, moqueries etc etc...Le genre de thématique qu'il est intéressant de découvrir et d'autant plus de nos jours, je trouve qu'il est important d'avoir des œuvres qui viennent mettre en lumière ce genre de sujet et celui-ci y parvient de manière plutôt efficace. Le point que j'ai trouvé le plus travaillé ici, c'est celui qui montre le conditionnement (parfois) involontaire de soi-même par rapport aux jugements et regards des autres. On s'aperçoit rapidement que Ruriko agit de certaine façon, pas forcément parce qu'elle le souhaite, mais plutôt parce que cela lui évitera X ou Y remarque. Ce point est d'ailleurs opposé à celui du professeur qui lui possède un "handicape" qui n'est pas physique, mais qui s'avère tout aussi compliqué à vivre. J'ai trouvé ça aussi intéressant de ne pas bloqué que sur le physique et d'aller au-delà en approfondissant aussi ce qui n'est pas visible. La direction prise devrait aussi nous permettre de parler harcèlement et moquerie, on en apprendra certainement plus à ce sujet avec le prochain opus. Sur tout cet aspect là, je n'ai finalement pas grand chose à dire de négatif, j'ai trouvé que c'était finement joué et que les sentiments et ambiances étaient assez justes. Là où j'ai eu plus de mal, c'est sur l'enrobage qui vient avec, parfois un peu trop mielleux et qui tend (peut-être faussement) à mettre en place des sentiments qui semblent amoureux là où il n'y en aurait pas forcément besoin (la relation prof/élève mineure...attention tout de même où on met les pieds). Bref, un point sur lequel j'attend de voir le développement et qui aurait dû je pense prendre une tournure différente. Ce n'est cependant que le premier tomes, attendons de voir l'évolution. Concernant la partie graphique, c'est assez passe partout au niveau du chara-design, mais je reconnais que certaines planches font leurs petits effets !
Scénario : 3.5/5
Graphisme : 3.5/5
Ma note : 7/10
🌟
Des thématiques dans l'air du temps, bien traitées et avec des graphismes corrects, que demande le peuple ?! Une bonne pioche et un titre à la fois touchant et prenant.
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"Unsung Cinderella" Vol.1, Mamare ARAI, chez Meian.
Il s'agira du dernier lancement de la semaine à passer sur le banc d'essai, Unsung Cinderella débarque chez Meian. Le titre de Mamare ARAI qui compte au Japon 5 volumes en cours de parution à l'heure actuelle. On suit l'histoire de Midori, une pharmacienne qui travail en hôpital et qui a fort à faire avec son travail. En effet, les différentes ordonnances qui lui parviennent ne sont pas toujours juste, la jeune femme va donc monter au créneau face à ses confrères ou supérieurs, avec une seule idée en tête, le bien-être des patients ! Perso, j'apprécie plutôt bien les mangas médicaux, mais il est vrai que depuis Team Medical Dragon (chez Glénat), il n'y a plus eu grand chose à ce mettre sous la dent (noté que Say hello to Black Jack revient chez Naban très bientôt). J'étais donc assez content de pouvoir retrouver un titre du genre, fallait-il encore qu'il soit de bonne facture...et c'est le cas ! Pour un premier tome, ARAI fait du plutôt bon boulot, alors, ce n'est pas transcendant, mais ce premier opus est efficace et offre à peut près tout ce que l'on peut attendre sur ce genre. On fait d'ailleurs connaissance avec le personnage de Midori, une pharmacienne, ce qui offre un point de vu assez intéressant et qui change du regard (parfois froid) des médecins et autre chirurgiens. Un personnage plein de pep's, de bienveillance et qui n'hésite pas à faire parler d'elle et dénoncer un certain laxisme auquel elle fait face et qui peut pourtant avoir des conséquences dramatiques. Le schéma narratif est assez classique, différents patients, différentes erreurs ou manquement et à chaque fois l'occasion pour Midori de pouvoir mettre le doigt où ça fait mail. Alors, il faut bien évidemment voir ce que cela donnera sur la durée, mais l'entrée en matière s'avère assez efficace, même si peut-être mois "violente" que sur d'autres titres. Concernant la partie graphique, le constat est le même, c'est tout en simplicité, plaisant sur l'ensemble, même si un effort pourrait être fait sur l'ambiance et la tension à certain moments.
Scénario : 3/5
Graphisme : 3/5
Ma note : 6/10
Le job est fait, un titre médical qui démarre plutôt bien, à la fois bienveillant et dénonciateur, le personnage de Midori est attachant et visuellement c'est simple et efficace. Non, franchement, on démarre tranquillement, c'est très correct et aussi instructif.
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"Tokyo Tarareba Girls" Vol.2&3, de Akiko HIGASHIMURA, chez Lézard Noir.
C'est le premier doublé de la semaine, celui qui va me permettre de partir sur l'autoroute du rire, on attache sa ceinture et c'est partie pour la galéjade, je me gausse d'avance !! Retour aux côtés de Rinko, Kaori et Koyuki pour suivre la suite de leurs (trépidantes) vies amoureuses !! Autant vous dire, que l'autrice ne manque pas d'idée pour poursuivre et nous aurons d'ailleurs le droit à une mise en avant efficace de Kaori et Koyuki qui vont permettre à HIGASHIMURA d'explorer d'autres sujets, bien évidemment toujours par le prisme de l'humour qu'on lui connait. Franchement, c'est d'après moi, LE titre feelgood par excellence ces derniers temps. J'en ai pas beaucoup, mais celui-ci rien qu'à l'idée de pouvoir en lire quelques chapitres, j'ai déjà la banane et je sais d'avance que je vais bien me marrer. On ne louera jamais assez le talent de cette mangaka qui est tout simplement l'une des meilleures et je ne comprend toujours pas à l'heure actuelle pourquoi est-ce qu'on ne parle pas plus d'elle (alors qu'en plus elle a une palette vraiment incroyable). On continue donc à décrypter les relations entre femmes et hommes, sous différentes formes et les débats de fond font toujours aussi bien échos en étant dans l'air du temps. C'est assez incroyable d'ailleurs la capacité qu'à l'autrice à dépeindre des situations qui sont quand on y regarde de plus près assez catastrophique, mais à enrober cela avec beaucoup d'humour et qui plus est qui fait mouche. On notera par ailleurs que le titre ne sera peut-être pas aussi efficace sans l'adaptation et traduction de Miyako SLOCOMBE, la traductrice qui vient d'ailleurs d'être fraîchement récompensé pour son travail et c'est tellement mérité d'un bout à l'autre ! Un titre qui continue de me régaler, j'ai d'ailleurs boulotter ces deux tomes d'une traite...j'avoue que je suis un peu chagrin à l'idée de devoir patienter jusqu'au prochain...
Scénario : 4.5/5
Graphisme : 4.5/5
Ma note : 9/10
🌟
Festival de la rigolade, c'est par ici ! Le parfait croisement entre Sex & the City et Ally McBeal ! Je valide à l'infini et je suis déjà en PLS à l'idée qu'il ne reste plus que six tomes à venir, DÉJÀ !!!
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"Rasetsu" Vol.2&3, de EUDETENIS, chez H2T.
C'est le dernier doublé pour cette semaine, il concerne la suite de Rasetsu chez H2T. Un titre que j'avais presque zappé, mais dont j'avais pourtant trouvé le premier tome agréable et divertissant. Le binôme d'auteurs brésilien revient donc avec deux tomes à la parution assez rapprochée et qui vont nous permettre de continuer à suivre la quête de Ren qui l'amène à faire face à Big Fish, puis un réseau de trafiquant de cadavre. L'intrigue est assez classique, un peu le déroulement que l'on pourrait avoir sur des films du même genre, le héros va faire face à différent obstacle dans sa quête de vérité et bien évidemment cela amène diverses situations assez axées sur la castagne. C'est d'ailleurs ce qui permet de rendre la lecture assez attractive, de bonnes scènes d'action, bien chorégraphiées et qui dépotent pas mal. La mise en page et le découpage accentuent aussi l'efficacité et rendent les combats vraiment puissants et l'on prend plaisir à suivre ça quand bien même ça s'étale parfois un peu trop. D'un autre côté, le chara-design est efficace, notamment celui des créatures, de même que plusieurs décors assez dépaysant les auteurs n'hésitant pas à nous faire faire le tour du monde. On peut dire que c'est simple et efficace, peut-être qu'on manque de fond, mais est-ce qu'on attend vraiment du fond sur ce type de récit ? Je n'en suis pas certain.
Scénario : 3/5
Graphisme : 3.5/5
Ma note : 6.5/10
Un récit divertissant, riche en action, la partie scénaristique est basique (au-delà du concept), mais le titre se rattrape avec des graphismes qui s'affine au fur et à mesure et qui s'avèrent plutôt efficace.
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"Just not married" Vol.5 (FIN), de Kinoko HIGURASHI, chez Kana.
On termine la semaine avec le cinquième opus de Just not married, qui sert de conclusion au titre d'HIGURASHI. Un tome qui vient apporter la touche finale à l'aventure de Ritsuko et Nonchan, deux personnages que l'on aura appris à connaitre et qui se seront révélés pour le moins touchants. Forcément au fil des chapitres et du temps, l'on avait pu constater l'évolution (positive) des personnages et l'on pouvait aisément deviner la tournure des événements présenter pour ces derniers chapitres. Tout du long, le titre aura dépeint de manière assez réaliste les différents problèmes que l'on peut avoir dans une relation de couple, les doutes, les solutions...sur ce point là, c'est vraiment bien retranscrit. On continue aussi de retrouver cette narration avec double point de vue qui fait toute l'originalité du titre et qui fait aussi que féminin, comme masculin, on peut aisément s'y reconnaître, ce qui rend la lecture d'autant plus attachante et intéressante. Sur ce tome j'ai bien rigoler avec la recherche d'appartement, ravi de voir que c'est une tannasse pour tout le monde, surtout quand cela s'éternise. Le manga s'avère assez équilibré sur son ensemble, la lecture toujours fluide, les thématiques abordées diverses et variées. Non, sincèrement un titre qui rend une copie propre et qui offre un bon récit de tranche de vie. Je recommande !
Scénario : 3.5/5
Graphisme : 3.5/5
Ma note : 7/10
La boucle est bouclée pour Just not Married, dont la conclusion ressemble à peu de choses près à ce que l'on pouvait imaginer. Un titre qui aura bien évoquer la vie à deux et avec l'originalité de toujours s'intéresser au point de vu féminin, comme masculin. Un titre à découvrir sans modération !