Chronique : Bestiarius Vol.1

Type : Shonen
Auteurs :  Masasumi KAKIZAKI
Editeur : Kaze
Prix de vente : 6.99€
Nombre de tomes France : 2 (en cours)
Nombre de tomes Japon :  4 (terminée)
Date de parution : 7 octobre 2015

 

Pitch :

Ier siècle après Jésus-Christ, l’Empire romain est à son apogée et ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, orphelins, demi-humains, wyvernes... Tous constituent les rangs d’esclaves guerriers jetés dans l’arène et forcés de s’entretuer pour divertir l’empereur Domitien et les Romains avides de sang. Parmi ces combattants se trouvent des gladiateurs qui affrontent fauves et créatures légendaires : on les appelle les Bestiari. Or, certains d’entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l’Empire tout entier !

Chronique :

En grand fan de l'univers de Masasumi Kakizaki (rappelez-vous, j'avais fait un crush sur Green Blood dernièrement), j'attendais « Bestiarius » avec grande impatience ! Kakizaki qui se lance dans de la fantasy, ou plutôt de la dark-fantasy aux vues de son style si sombre, c'était quelque chose à ne surtout pas louper!

Alors, « Bestiarius » de quoi ça parle donc ? Dans ce premier volume, « Bestiarius » nous propose deux histoire indépendantes bien qu'assez proche. D'un côté, nous faisons la connaissance de Finn, gladiateur sous l'empire romain, luttant tous les jours dans l'arène pour sa survie. De l'autre, c'est Zénon qui nous est présenté, lui aussi gladiateur. Mais ce n'est pas leur unique point commun, ils ont en effet tous deux été élevés par une de ces créatures fantastiques ennemies de l'empire que sont les dragon et les orque (pas les animaux enfermés à Marineland hein, les orques comme dans Warcraft plutôt). Faits prisonniers et traités comme des bêtes à cause de leur différence, ils devront se battre pour retrouver leur liberté. « Ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier ! » comme nous dit la quatrième de couverture... mais là-dessus, je me permets d'émettre un doute.

En grand fan de l'univers de Masasumi Kakizaki (rappelez-vous, j'avais fait un crush sur Green Blood dernièrement), j'attendais « Bestiarius » avec grande impatience ! Kakizaki qui se lance dans de la fantasy, ou plutôt de la dark-fantasy aux vues de son style si sombre, c'était quelque chose à ne surtout pas louper!

Alors, « Bestiarius » de quoi ça parle donc ? Dans ce premier volume, « Bestiarius » nous propose deux histoire indépendantes bien qu'assez proche. D'un côté, nous faisons la connaissance de Finn, gladiateur sous l'empire romain, luttant tous les jours dans l'arène pour sa survie. De l'autre, c'est Zénon qui nous est présenté, lui aussi gladiateur. Mais ce n'est pas leur unique point commun, ils ont en effet tous deux été élevés par une de ces créatures fantastiques ennemies de l'empire que sont les dragon et les orque (pas les animaux enfermés à Marineland hein, les orques comme dans Warcraft plutôt). Faits prisonniers et traités comme des bêtes à cause de leur différence, ils devront se battre pour retrouver leur liberté. « Ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier ! » comme nous dit la quatrième de couverture... mais là-dessus, je me permets d'émettre un doute.

Côté dessin on a beau chercher il n'y a vraiment rien à dire. Malgré un auteur qui ne va pas assez au bout des choses et une intrigue qui risque d'être tronquée il faut avouer que rien que pour les dessins et son univers, « Bestiarius » vaut le coup. Fourmillant de détailles, des prises de vues magnifiques et des créatures monstrueusement belles, le manga tient ses promesse de ce côté-ci si bien que je pourrais même comprendre qu'on l'achète uniquement pour ses planches. De plus, sur le court terme le scénario nous envoie du lourd autant dans l'intrigue que les scènes d'action, donc pour un shônen « Bestiarius » reste tout de même un bon compromis... si l'on n'a pas peur d'être déçu par la fin.

Pour finir, on retiendra de ce premier tome qu'il reste très bon dans l'ensemble malgré un côté assez frustrant pour ceux qui connaîtraient l'auteur. Le seul (gros) bémol reste une mise en place très longue et prenant de l'ampleur pour une série qui sera finalement très courte. Par contre si vous êtes là uniquement pour en prendre plein la face à base de dragons et de gladiateurs vous avez toqué à la bonne porte à mon avis!

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