Chronique : Baby-Sitters Vol.3
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Type : Shojo
Auteurs : Hari TOKEINO
Editeur : Glénat
Prix de vente : 6.90€
Nombre de tomes France : 4 (en cours)
Nombre de tomes Japon : 8 (en cours)
Date de parution : 2 avril 2014
Pitch :
Ryuichi, qui travaille à la crèche de l'académie Morinomiya, et son petit frère Kotaro sont très proches. Ce dernier se voit pour la première fois confier des responsabilités : il doit apporter son bento à son grand frère adoré. Commence pour ce petit bout de chou une grande aventure sur le campus !
Chronique :
Nous voilà avec entre les mains un nouveau volume de ce manga plein de douceur. Les histoires sont des péripéties de tous les jours, mignonnes, tristes, on est attendri à chaque fois, les enfants font des actions d'enfants, que se soit mal, bien, courageux, normal, chaque événement dans leur vie les fait grandir.
On commencera ce tome avec une histoire autour du bébé de la crèche, Midori, ainsi que l'arrivée d'un nouveau personnage. Un lycéen plutôt amusant au cœur tendre.
Dans ce volume également, Kôtaro sera beaucoup mis en avant, son amour pour son grand-frère ainsi que sa force touchent énormément, il fait de son mieux et son grand-frère le lui rend bien. Comme les multiples lycéens qui croiseront sa route au détour d'un couloir, on craque une nouvelle fois pour ce petit bout de chou.
Cependant, celui qui prend la plus grande leçon dans ce volume est ce gamin hystérique de Taka, une crise entre frangin éclate. Hayato nous rappelle ce que c'est d'être l'aîné quand les autres sont plus petits. On est les plus vieux, on doit laisser couler certaines choses pour lesquelles on aimerait rester en colère longtemps. Et puis c'est aussi notre famille, frères ou sœurs, ce sont des personnes qui sont liées à nous.
C'est une conclusion qui s'adapte qu'on nous offre, selon comment on est on peut prendre en compte l'erreur dû à l'âge. On observe que Hayato est un personnage vraiment très intéressant sous ses airs bourrus.
Un troisième volume dans la lignée des deux premiers, adorable, doux, qui nous fait sourire bêtement et surtout nous fait en vouloir encore.