Chronique : Dragon Ball (Perfect Edition) Vol.1

Type : Shonen
Auteurs : Akira TORIYAMA

Editeur : Glénat
Prix de vente : 10.55€
Nombre de tomes France : 14 (en cours)
Nombre de tomes Japon :  34 (terminé)
Date de parution : 18 février 2009

Pitch :

Dans un monde fantastique semblable à la Terre et peuplé de créatures plus étranges les unes que les autres, un petit garçon à la force herculéenne et doté d’une queue de singe croise un jour la route d’une jeune fi lle. Celle-ci s’est lancée à la recherche de sept mystérieuses boules de cristal. Car il est dit que quiconque les réunira pourra appeler le dragon sacré et exaucer son voeu le plus cher. En chemin, ce duo d’aventuriers peu commun se heurte à un cochon transformiste usant de ses dons pour kidnapper les jeunes fi lles d’un village, puis à un vagabond solitaire adepte des arts martiaux que la simple vue d’une jeune femme suffi t à tétaniser sur place. Ce n’est que le début d’une grande aventure riche en péripéties, en humour et en combats extraordinaires…

Chronique :

La Bible, le Coran, le Graal, autant de nom pour nommer l’œuvre que voici et pas dans n’importe quelle conditions puisqu’il s’agit de la Perfect Edition. L’heure est venue donc  de chroniquer ce « classique » signé Akira Toriyama.

On ne peut qu’être partagés entre deux sentiments après la lecture de ce premier tome. Le fait que ce titre est un classique qui est toujours aussi plaisant après une énième relecture. Le fait que face à certains « pontes » du shonen il prend un véritable coup de vieux. L’histoire est somme toute classique un « remix » du conte de Saiyuki, réussi de façon remarquable. Certain l’auront remarqué, la première partie de Dragon Ball est moins portée sur le côté surenchère de puissance/bastons et ce concentre plus sur l’aventure et l’humour.

Terminons par le graphisme du maitre et si nous prenions  le tome un et le tome quarante-deux la différence doit être minime. Non pas que les dessins sont mauvais, au contraire c’est bon du début à la fin. Le train de Toriyama est visiblement toujours resté le même et n’a pas pris une ride.

Passons  au point le plus important qui est bien sûr l’édition puisqu’il s’agit de la Perfect Edition. Le format est plus grand, papier de bonne qualité, pages couleurs, illustrations des chapitres et chapitrage d’origine et surtout le clou du « manga »nouvelle traduction ! Adieu « Plume ou Tortue Geniale » bonjour « Puerh et Kamé Sennin ». De plus l’édition grouille de petites indications (notamment sur les noms) ou sur certains détails qui auraient nous échappés.

Cette Perfect Edition de Dragon Ball est pour nous une « résurrection » d’un mythe. Vraiment une pure (re)découverte !