Les lectures mangas de la semaine S11E02

Seconde semaine déjà pour 2021, je vous propose pas mal de rattrapages lecture, une fin et un lancement. On parlera de #MyHeroAcademia chez #Kioon, de #ThePromisedNeverland chez #Kazé ainsi que de la suite de #LesHerosDeLaGalaxie chez #Kurokawa. Je reviendrais encore sur la collection #Life des éditions #Kana avec #CigaretteAndCherry, ainsi que la fin de #FirstJobNewLife. Puis l'on continuera avec de la SF chez #Akata avec #NosTempsContraires et le tout premier titre que je tente chez #Noeve, #SpeOpe !

 

"My Hero Academia" Vol.23 à 26, de Kohei HORIKOSHI, chez Ki-oon.

 

L'un des hits shonen actuel qui me partage le plus depuis son démarrage et pourtant je suis toujours là, après bientôt une trentaine de volumes à suivre ce manga. Il faut dire qu'HORIKOSHI ne ménage pas ses efforts et que dans sa globalité, le titre possède plus de qualités que de défauts. C'est d'autant plus vrai quand comme sur ces volumes, la partie scolaire est très nettement mise de côté aux profits de l'intrigue centrale et d'évènements moins enfantins. Je sais, je sais, le titre reste un shonen et donc forcément de base s'adresse à un lectorat d'ado, qu'il doit respecter certain codes. Tout ça, je le sais, mais ça ne m'empêche pas de moins apprécier les passages scolaires que je trouve trop redondant à mon gout, même si à petites doses et au départ c'était agréable et drôle. Je sais aussi que c'est un point important qui permet de travailler les relations entre les personnages etc... Brefouille, quatre volumes fort sympathique à lire, notamment parce qu'elle laisse globalement de côté les héros pour s'intéresser aux vilains à savoir Tomura et sa bande. Car l'auteur l'à bien saisi, sans Némésis de qualité, les affrontements seront aussi bons qu'une raclette sans fromage ! C'est bien amené d'ailleurs et cela permet de plus de faire intervenir de nouveaux personnages comme par exemple les révolutionnaires. Qu'il s'agisse de Tomura, Twice ou même Spinner, chacun possède son temps d'exposition, voir même son propre flash-back et je dois dire que c'était assez agréable à suivre. Alors, bon, peut-être que certain à l'image de Spinner ou Twice sonnent un peu trop "gentil" pour être des vilains, mais dans l'ensemble, j'ai trouvé qu'on était plus que bien niveau caractérisation. On voit bien que le titre va crescendo et que l'on pourrait bien atteindre sous peu le climax de cet arc. Des tomes qui sont par ailleurs bien équilibré, on retrouve beaucoup d'action, un peu d'humour, mais surtout comme je viens de le dire, un gros travail sur la caractérisation des vilains et sur l'avancée de la trame. Du côté des héros (puisqu'ils sont quand même un poil présent), j'ai apprécié le sujet de l'héritage abordé via Deku, le stage prometteur chez Endeavor, ainsi que le double jeu d'Hawk. Pour en revenir à Endeavor, je n'étais pas très fan du personnage que je trouvais trop caricatural, mais je suis ravis de voir ce qu'en fait l'auteur car il devient l'un des personnages que je trouve le plus réussi autant sur la caractérisation que sur l'évolution. Très hâte de découvrir la suite !

 

Scénario : 4/5

Graphisme : 4.5/5

Ma note : 8.5/10

 

Voilà le MHA que j'ai envie de voir, laissant le côté scolaire de côté et s'intéressant plus à l'intrigue centrale du titre et surtout sur cette salve de volumes, aux vilains ! On aime !

 

 

"The promised Neverland" Vol.16&17, de SHIRAI & DEMIZU, chez Kazé.

 

Tout doucement, l'on s'approche dangereusement de la conclusion, car je vous rappel que le manga est désormais bouclé au Japon et comptera vingt tomes tout rond ! Nous concernant, c'est du côté des tomes seize et dix-sept que portera cette review. A noter que le seizième opus à bénéficié d'une double parution puisque outre la version standard, une version coffret collector est disponible. Cette dernière content, le tome seize, le gag manga, ainsi que cinq silhouettes détachable (on notera la double présence d'Emma et l'absence de Norman, un choix étrange). Des chapitres qui comme la plupart du temps sont très fournit et ne laisse pas vraiment de place à l'ennuie. On retrouve Emma et Ray qui tentent de boucler l'énigme des 7 Murs, Norman qui poursuit son plan et la surprise vient plutôt de Ron et Gilda qui sont brillamment mis en avant. Alors qu'une mission leur est confiée, nous allons enfin avoir la chance de voir les deux personnages évoluer par eux-même et j'ai trouvé que c'était une belle preuve de l'évolution que connaissent ses persos. C'est aussi l'occasion de faire connaissance avec le personnage d'Ayshe auquel j'ai rapidement accroché et qui est bien introduit. L'ensemble est toujours aussi bien écrit, on découvre les dessous de la promesse effectuée 1000ans auparavant, on en apprend pas mal sur le passé des démons au travers de Geelan. Plein de question qui trouvent enfin réponses, cela fait plaisir et cela prouvent aussi que les auteurs n'oublient rien et prennent le temps et soin de tout résoudre. Le reproche que j'aurais concerne le personnage de Norman, dont les actions sont finalement devenues assez prévisible, quand bien même les auteurs tentent de brouiller les pistes. Les twists sont légions et si la grande majorité fait mouche, je dois reconnaitre que parfois, on ne tombe pas dans le panneau (notamment concernant Emma). Qui dit phase finale, dit forcément action et cela prend place dans la capitale, avec pas mal d'affrontements, notamment celui face à la Reine et sa garde. Est-il trop tard désormais pour faire marche arrière ? La suite le dire ! Pour la partie graphique, on est toujours au top du top, quel travail graphique mis en place par DEMIZU, c'est impressionnant. On relèvera encore une fois le soin et le détails proposés par l'autrice et l'on pensera forcément pour le coup à ce labyrinthe par exemple où elle peut s'en donner à cœur joie.

 

Scénario : 4/5

Graphisme : 4.5/5

Ma note : 8.5/10

 

Une fois n'est pas coutume, des chapitres rondement menés et un manga qui s'approche doucement, mais surement de sa conclusion. Exemple de régularité depuis le début, j'attends beaucoup des derniers volumes pour une conclusion que j'espère au top.

 

 

"Cigarette & Cherry" Vol.3, de Daishiro KAWAKAMI, chez Kana.

 

Toutafé !!! Je ne lâcherais jamais cette collection et la preuve, ce troisième opus de Cigarette & Cherry vient encore me donner raison. Vraiment, je le répète, il s'agit probablement de l'une des meilleures choses que l'on a eu l'occasion d'avoir en 2020 à mon sens. Chaque titre qui est paru sous la collection Life de l'éditeur s'est révélé être une très bonne découverte et ô combien différente de ce que l'on pouvait avoir habituellement. Un troisième opus pour le manga, qui continue de prendre son temps et de s'attarder sur cette relation atypique, mais qui sonne vraie et pleine de justesse. On notera d'ailleurs qu'il n'y a toujours pas de prénoms ou noms divulgué, on reste sur des surnoms. Un volume qui fait le job et qui nous propose d'en découvrir plus sur l'ancienne relation de Cigarette, grâce à la case flash-back. On en retrouve plusieurs intelligemment dispatché au fil des chapitres et dont la conclusion s'achève pile sur le climax de ce volume. Oui, c'est aussi cela qui fait la force d'un titre, savoir bien gérer le rythme de la narration et cela KAWAKAMI le fait très bien. Tout s'articule autour du présent et du ressenti des deux personnages principaux, c'est fait de façon très adroite et j'ai énormément apprécié la lecture de ce troisième opus. On retrouve évidemment toujours de l'humour et de la dérision, ce qui évidemment est un plus sur ce genre de récit et permet aussi de temps à autre de détendre l'ambiance. Concernant le déroulement, les situations et réactions des personnages, ma foi, j'ai trouvé cela assez réaliste, on ne part pas sur des trucs improbables, ça se tient dans l'ensemble. On appréciera aussi la construction du personnage du Puceau qui gagne en épaisseur avec ce volume, celui de Cigarette n'est pas non plus en reste par ailleurs. Si la suite est toujours du même acabit, je resterais fidèle au poste !

 

Scénario : 4.5/5

Graphisme : 4.5/5

Ma note : 9/10

 

Une belle confirmation, avec un volume plein de justesse, d'émotions, de fragilité et qui ramènera forcément le lecture à ses premières amours !

 

 

"First job, New Life" Vol.4 (FIN), de Yoko NEMU, chez Kana.

 

C'est la première série à trouver sa conclusion dans la collection Life, le titre de Yoko NEMU tire donc sa révérence après quatre petit tomes. Alors que nous réserve ce dernier opus de FJNL ?! Eh bien, quelques rebondissements, de l'amour, de l'humour et une Tama perdue au milieu de tout ça ! Un volume que j'ai trouvé en dessous des autres, mais qui reste tout de même correct et permet de conclure convenablement la série, même si de façon un poil abrupte. Il faut dire que ce dernier volume cumule quelques maladresses scénaristique, à commencer par les twists que proposent la mangaka, mais qui s'avèrent malheureusement assez prévisible. Difficile de dire qu'on ne voyait pas venir les choses, surtout au vue de la tournure des évènements depuis plusieurs chapitres. L'autre reproche concernerait l'évolution de Tama, qui malgré un coup d'éclat final, semble tout de même loin d'une vrai renaissance et cela même après toutes ses mésaventures. J'ai trouvé cela dommage qu'on en vienne déjà à la conclusion, sachant qu'il restait des choses à faire sur la construction de son personnage principal. Après, j'avoue que je ne sais pas dans quelles circonstances le manga s'est achevé, volonté de l'autrice ou de l'éditeur ?! Partant de là, difficile de vraiment savoir quoi penser sur cette conclusion. Reste que le ressenti de la lecture s'il n'est pas mauvais en soit, aurait clairement pu gagner en étant mieux travailler et peut-être un poil retardé. Sur l'ensemble, la série reste tout de même complète, on aborde pas mal de thématiques, la partie sentimentale est bien traitée, on retrouve de bonnes séquences d'humour et une histoire qui sonne assez vraie de par son évolution dans le milieu du travail. On notera d'ailleurs que l'autrice en profite aussi pour dire que certes le monde du travail ce n'est pas toujours tout rose, pour autant, il s'agit d'un vecteur important pour créer des liens sociaux et que cela peut aussi faire office de soupape de décompression.

 

Scénario : 3/5

Graphisme : 4/5

Ma note : 7/10

 

Une conclusion un peu abrupte, mais un short manga qui fait le job tout du long. On retrouve ce qu'on attend de ce genre de titre, de l'émotion, de la tranche de vie, de l'humour et des personnages bien écrit. C'est validé !

 

 

"Nos temps contraires" Vol.2, de Toriko GIN, chez Akata.

 

Pour le reste de l'article, il va falloir faire place à la science-fiction sous différente forme mes bichons ! C'est avec le second tome de Nos temps contraires que l'on va d'ailleurs ouvrir le bal, ouai, le meilleur en premier direct, pas de temps à perdre ! C'était l'une des révélations de fin 2020, il est presque inutile de vous dire que ce nouvel opus confirme tout le bien que je pense de ce manga. C'est carré ! Du début à la fin, l'autrice ne fait pour ainsi dire aucune faute. Il y a seulement sur la partie graphique où en pinaillant, je pourrais dire qu'on manque par endroit de décors, mais encore que c'est presque inhérent au genre. Un volume qui s'ouvre après une belle ellipse, nous proposant de découvrir Arata et les autres sous un format plus adulte. Un tome très riche, qui nous fait découvrir de nouveaux personnages comme Gigi, Lion, Girafe, des personnages bien introduit et qui gagnent rapidement en épaisseur avec un temps d'exposition pourtant réduit. Gigi sera probablement amené à être un personnage centrale, elle est fraiche, apporte un petit grain de folie au titre, alors que de l'autre côté le duo Lion/Girafe est plus touchant, avec une histoire assez lourde. C'est d'ailleurs ce binôme qui permet à la mangaka d'aborder divers sujets qui nous intéressent, notamment sur les néotènes et sur Soichiro, le premier néotènes et son histoire. C'est fort et je dirais même très fort, ce que GIN propose avec son titre, les pièces s'imbriquent les unes avec les autres avec une facilité déconcertante, c'est assez incroyable. On sent bien un titre qui vise non seulement à aborder moult thématiques, mais aussi qui déverse un torrent d'émotion à chaque coin de page. Un titre plein de contraste, de justesse, de douceur, de poésie, mais aussi d'une certaine violence et cruauté. Du côté du noyaux "premier", on retrouve Arata et les autres, chacun ayant parcouru son chemin et gardant les séquelles des évènements passés. On retrouve d'ailleurs un Arata très investi auprès des daphnéens, mais aussi à l'origine d'un projet des plus intriguant avec cette construction secrète de fusée. Des pistes bien amenés par la mangaka et qui donnent envie de découvrir la suite, j'en viens même à avoir peur que huit tomes ça ne soit trop peu. On notera aussi la construction et l'évolution des rapports entre les personnages, là aussi, c'est rondement mené et on accroche vraiment à tout ce que propose l'autrice. C'est juste fou !

 

Scénario : 5/5

Graphisme : 4.5/5

Ma note : 9.5/10

 

Une chance pour les autres titres de mon classement 2020, que ce manga ne soit pas paru plus tôt car il aurait fini bien plus haut. C'est propre, pratiquement rien à redire, je suis dedans et si je pouvais me faire les huit tomes d'une traite ça serait sans hésitation !

 

 

"Les héros de la galaxie" Vol.9&10, de FUJISAKI & TANAKA, chez Kurokawa.

 

Avant dernier titre de la semaine, il s'agit d'un petit doublé concernant Les héros de la galaxie, le space-opéra dessiné par FUJISAKI chez Kurokawa. Alors que l'on atteint la dizaine, je vous rappel que le titre est toujours en cours de parution au Japon et qu'il en compte désormais le double ! Nous avions laissé Reinhard et l'Empire sur un sacré revers subit, c'est désormais la contre-attaque qu'il faudra mené, car on sait que quand on attaque l'Empire....l'Empire contre attaque (merci, je serais en tournée le 17 à Dax, le 26 à Mirecourt et le 31 à Brest) !! L'occasion est donné une nouvelle fois donc à notre jeune ami de s'illustrer et de possiblement botter le cul à Yang ! J'adore ce titre, vraiment, je vais éviter de trop entrer dans les détails pour ne pas spoiler, mais vraiment, c'est un titre que je me plait à suivre, notamment car il fait fi du côté "bourrin" et propose de s'attarder grandement sur l'art de la guerre et l'aspect tactique que cela implique. C'est vraiment exceptionnel et très complet, on découvre des stratégies folles, ainsi que des retournements de situations en pagaille. On pourrait d'ailleurs trouver cela redondant, perso, je suis plutôt dans l'attente à chaque fois, me demandant quel sera le prochain coup joué, un peu comme sur une partie d’échec. On découvre aussi quelques facettes plus méconnues, comme celui du revers de la médaille pour le "vainqueurs" et l'aspect logistique que cela implique. Au rayon des personnages, j'aimerais que l'on passe par quelques moments de tranche de vie, afin de mieux étoffer le background et les relations entre les personnages, même si pour l'ensemble ils sont plutôt charismatiques et en imposent, ça manque parfois d'humanité. En tout cas, le titre prend une autre direction désormais, avec un arc narratif qui annonce beaucoup de changement et qui surtout va permettre d'affronter un adversaire ô combien différent et retord.

 

Scénario : 4/5

Graphisme : 4/5

Ma note : 8/10

 

Quand on me parle de space-opera, il est clairement impossible désormais pour moi de ne pas mentionner Les héros de la galaxie !

 

 

"Spe-Ope" Vol.1, de Kia ASAMIYA, chez Noeve.

 

Ayé, mon premier titre de chez Noeve ! Il s'agira de Spe-Ope, qui signe le retour en France de l'ami ASAMIYA à qui l'on doit pas mal de titres notamment Silent Mobius ou encore Junk. Bon, ce n'est pas le lieu pour revenir sur la carrière du mangaka, c'est un grand, voilà ce qu'il faudra retenir. C'était donc avec joie que je me suis jeté sur ce nouveau titre, qui mise sur la science-fiction encore une fois. Un manga toujours en cours de parution au Japon avec trois volumes en cours. L'histoire nous propose de faire connaissance avec l'intrépide Opéra, coursière interplanétaire et qui tente de gagner tant bien que mal sa croute avec l'aide de l'équipage du "Fragile". Bien évidemment, l'espace est loin d'être un long fleuve tranquille et encore moins quand le facteur (#lolilol) chance n'est pas de la partie ! L'histoire est simple, sans fioriture et avec un ton plutôt léger pour l'instant. On sent bien que le mangaka est un habitué du genre et qu'il connait par coeur les codes qui vont avec. On retrouve d'ailleurs une certaine inspiration Star Wars durant le récit, sans faire dans le plagiat loin de là, simplement on y retrouve quelques ingrédients semblables. L'histoire est bien construite, on pose les bases de ce nouvel univers, on s'applique sur les personnages qui sont assez accrocheurs pour le moment. Sur cet aspect là, c'est assez réussi, pour un premier tome, c'est a peu près ce que l'on demande non ? De plus, il y a quand même pas mal d'action, c'est fluide, il y a de l'humour, des dialogues qui fusent, bref la mise en place est bonne. C'est plutôt du côté développement que j'ai eu un peu plus de mal, on arrive tout de même en fin de tome, sans trop savoir la direction que prendre ce titre, est-ce qu'il s'agira de plusieurs petites intrigues, est-ce que quelque chose de plus grand sera proposé ? Il faudra attendre quelques chapitres encore pour le découvrir. Pour la partie graphique, le style d'ASAMIYA est assez typé, on retrouve pas mal d'inspiration en provenance des comics (je rappel que l'auteur a fait un diptyque sur Batman) et par moment, je trouve que sur ce type de récit, l'alchimie n'est pas toujours au rendez-vous. Plus encore, c'est l'ensemble qui est assez inégal, avec parfois des cases ou planches très complètes, avec du soin et du détail et à d'autres, l'impression que c'est fait un peu à l'arrache. A voir si l'auteur propose quelque chose de plus uniforme par la suite. Un mot sur l'édition tout de même car il s'agit d'un nouvel éditeur sur le marché et donc forcément, il fallait en parler. J'ai envie de vous dire qu'on est quand même plus que bien, la qualité de papier est bonne, on retrouve les pages en couleurs, l'éditeur fait le choix pour la première fois en France d'intégrer les insert à la japonaise et pour les fans de goodies, vous pourrez retrouver une petite carte dans chaque tome. Pour un manga qui reste dans la fourchette de prix habituelle, moi ça me va. Mention spéciale pour le boulot de Ryoko AKIYAMA qui comme d'habitude s'applique et nous propose une traduction fluide et sans accrocs !

 

Scénario : 3.5/5

Graphisme : 3/5

Ma note : 6.5/10

 

Un démarrage qui fait le boulot, posant les bases d'un nouvel univers, s'appliquant sur ses personnages. On regrettera un peu le manque d'action et de profondeur pour le moment. On peut tout de même parler d'introduction réussie et puis, c'est quand même un gros kiffe de retrouver ASAMIYA en France !